- Peu de séjours se passent mal, certains auraient pu être évités
- Anticiper, se préparer pour devancer les problèmes
- Connaître ses droits et les réglementations applicables en amont et pour réagir après
- Assurer correctement son activité sont les clés pour limiter les problèmes et les gérer au mieux quand ils arrivent
Même si la grande majorité des séjours en gîtes ou chambres d’hôtes se passent bien, certains peuvent donner lieu à des incidents. Une grande partie d’entre eux peut être évitée.
Des dégâts dans le gîte que l’on découvre en fin de séjour, des détériorations ou de la casse dans les chambres d’hôtes, des bibelots et objets qui ont disparu sans que l’on sache vraiment quand c’est arrivé… D’expérience, le créateur de gîtes ou chambres d’hôtes a tendance à sous-estimer ces problèmes. C’est normal. Il veut que les séjours soient réussis et cherche à proposer une expérience idéale dont ses hôtes auront le meilleur souvenir. Ceci étant, il faut aussi penser aux séjours qui se passeront pas comme prévu, pour s’y préparer.
Pour limiter ce genre de mésaventures, il faut les anticiper et faire les bons choix en matière d’équipements, aménagements mais également modes de fonctionnement. Il faut aussi être clair sur ses devoirs mais également sur ses droits en tant que loueur. A une époque où l’on parle beaucoup des droits des consommateurs, le loueur doit connaître précisément la réglementation, le fonctionnement des dépôts de garantie, les règles à respecter en matière d’état des lieux, les enjeux liés aux vols ou aux assurances, d’autant plus que certains clients sont très bien informés et ont un accès immédiat aux pseudo-experts qui sévissent sur la toile.
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